27/05/2007 de Pierre Hafner, Genève : Le Plan OR.
PRIVILÉGIES de TOUTES les NATIONS !
SAUVEZ la PLANETE et VOUS VOUS SAUVEREZ VOUS-MEMES !
NOUS POUVONS GAGNER LA GUERRE – LA GUERRE PACIFIQUE du MONDE !
La guerre interne de la Terre, la guerre de la confiance, la guerre des consciences !
Permettez-moi de faire une proposition pour une Humanité Equilibrée.
Son Nom :
ORDRE et RENAISSANCE
Amélioration du « Bien-être Général ». Contrepartie : « Ordre Restauré ».
C’est la possibilité de remédier à l’état actuel du « Déséquilibre Mondial ».
Argent et moyens matériels en contrepartie de paix et justice sociale.
Les déséquilibres actuels dans le Monde sautent aux yeux de tous. C’est une évidence.
Des moyens très importants ont été mis en place depuis longtemps par les organisations internationales (ex: Banque Mondiale, FMI, et bien d’autres) pour, disent-elles, les atténuer. Les ont-elles atténué ou au contraire aggravé ? Nous nous posons la question, c’est tout !!!Des efforts sont en cours par des particuliers, des organisations et aussi des pays, afin de remédier aux déséquilibres économiques, sociaux, sanitaires et environnementaux.
Nous pensons que beaucoup d’entre eux sont sincères, persuadés qu’ils contribuent au Bien. Ces efforts sont, sans aucun doute, louables et méritent d’être reconnus et appréciés.
Ils sont, cependant, sans commune mesure avec les moyens qui seraient à mettre en œuvre pour parvenir à ce que nous voyons comme devant être un véritable « sauvetage » et « rééquilibre » des besoins et des forces de la Planète. L’importance des efforts entrepris est « hyperboliquement » trop modeste.
La « Globalisation » s’est mise en place. Presque sans que l’on ne s’en aperçoive. Par la finance qui ne connaît pas de frontières et en a été la cause originelle, probablement.
Par la volonté des puissants pour produire moins cher. Ils avaient l’argent pour le faire.
Les sociétés multinationales en premier, suivies peu à peu par les intérêts des uns et des autres. Nous constatons qu’un mouvement irréversible s’est déclenché.
Les moins favorisés ont saisi l’occasion pour obtenir du travail. Sur tous les continents. Bien.
Mais la délocalisation a créé une dépendance vis-à-vis d’eux et ils ont une position de force.
On pourrait dire que les intérêts égoïstes ont été pris, en quelque sorte, à leur propre piège.
Sans le vouloir les « privilégiés » sont entrés dans « l’Ere du Partage Obligatoire » !!!
La globalisation peut être le début de l’harmonisation du Monde entre travail et argent.
Mais elle ne le sera QUE si tous, et avant tout les Privilégiés, y contribuent. Vraiment !
Le « partage » non recherché au départ doit devenir la condition sine qua non du Futur.
L’irréversibilité de cette Ere du Partage nécessite d’aller plus loin, plus juste, plus digne.
Pour assurer et assumer cette globalisation il faut partager matières premières, travail et profit.
Sans cela tout le système s’écroulera et tous seront perdants. La guerre s’ensuivra.
Il s’agit par conséquent de partager aussi le capital de ceux qui en sont les possédants.
Il faut partager ce capital, partiellement seulement, avec ceux qui en ont besoin pour leur survie et avec ceux qui doivent pouvoir améliorer leurs conditions d’existence.
Beaucoup diront : « Utopie ! ». Un Monde imaginaire impossible à réaliser. Impossible !
Nous pensons que c’est possible si l’on y met les moyens et la volonté nécessaires.
Tous connaissent l’adage qui dit que « l’argent est le nerf de la guerre ».
Nous nous permettons de proposer notre plan, développé dans les pages qui suivent.
LES NECESSITES SONT VASTES, MONDIALES ET URGENTES.
Nous emprunterons le nom au plan qui a permis de reconstruire l’après-guerre WW II.
Un plan « Marshall global ».Les « privilégiés » du Monde doivent mettre à disposition de « ceux qui ne sont pas » des privilégiés, de gigantesques moyens financiers afin de sortir le Monde de ses difficultés actuelles (sociales, injustices économiques et migrations) et partager de façon plus équitable les richesses des possédants importants avec ceux qui ne le sont pas.
Afin d’améliorer le « bien-être général ». Partout et dans tous les domaines de la vie.
Sans oublier le problème du réchauffement de la planète. Essentiel pour la survie de l’humanité.
Le terme de « privilégiés » s’applique aussi bien aux personnes physiques que morales.
Beaucoup sont convaincus que les possédants ne feront rien s’ils n’y sont obligés. Qu’il faut changer la structure du Monde et empêcher les gains très importants. Cela nous paraît difficile et surtout très long à faire. C’est pourquoi nous avons pris le parti de croire que :
si Les PRIVILEGIES deviennent conscients de la nécessité d’être GENEREUX parce que sans cela le Monde se retournera contre eux, ils le deviendront. N’oublions jamais que « nécessité fait loi ». Nous pensons que nous en sommes là.
Notre idée première est de ne pas utiliser la forme de l’impôt, laquelle est toujours mal perçue car gérée par des politiques qui ne sont pas forcément du « bord » de ceux qui doivent faire l’effort financier, mais au contraire sous la forme de « fondations privées », gérées par des gens compétents et de confiance, mis en place par ceux-là mêmes qui feront l’effort financier.
La frustration, souvent, de voir utilisés les moyens issus de la fiscalité de façon différente de celle espérée par les payeurs, les rend sourds et résistants à l’augmentation utile des impôts.
Les fondations seraient nombreuses et auraient des buts variés, correspondant aux « désirs » de ceux « qui paieront » et aux « besoins » de ceux qui sont « moins favorisés ».
Notre vision du futur est la suivante :
Sans ce plan, ou l’équivalent, le Monde s’effondrera dans une révolution « destructrice »
en comparaison de laquelle celle de 1789 aura l’air d’une révolte de banlieue….
Solution : GÉNÉROSITÉ !
C’EST CE PLAN QUE NOUS ALLONS DEVELOPPER MAINTENANT :
Nous proposons que les privilégiés ( voir infra qui ils sont ) « sacrifient » :
par ex. 10% ( dix pour cent ), ou même 20% ( vingt pour cent ) pour rendre ce projet plus efficace,
de leurs LIQUIDITES et les mettent à disposition de ces projets.
Nous entendons par liquidités l’argent laissé à la disposition des banques pour le placer.
Les dépôts à court, moyen et long terme, là où le déposant laisse les banques décider.
Intra national et international. Dans leur pays et ailleurs.
Aucun privilégié ne peut prétendre que 10% ( ni même 20% ) va le pénaliser gravement.
D’autant moins si l’on regarde les statistiques (v. infra) de la progression des fortunes gérées :
elles ont augmenté de 19% en 2003 et de 9% en 2004 pour atteindre 85,3 Trillions dollars.
Il est probable qu’elles dépassent de nos jours les 100 Trillions de dollars ou même d’euros.
Sans tenir compte de l’argent occulte. Celui qui n’est pas visible dans les circuits officiels !!!
L’HONNEUR du PRIVILEGE : FAIRE DISPARAITRE PAUVRETE et MISERE
Tendre la main aux moins favorisés : ce serait LE PLUS NOBLE DES COMBATS
Sans paternalisme ! Avec l’idée de « DIGNITE et PARTAGE ».
Cela permettrait de renouer un dialogue entre favorisés et défavorisés, propice à la paix sociale et mondiale.
Faire table rase des préjugés et repartir en avant avec le CŒUR.
Un avantage essentiel serait d’amener dans les pays dont sont issus beaucoup d’immigrants (ou émigrants) les moyens de leur permettre de vivre et prospérer sur place, chez eux.
Résultat :moins d’immigrants impossibles à intégrer dans nos pays riches et développement dans leur pays. Cela leur permettrait de rester sur leurs terres qui leur sont chères.
Un principe FONDAMENTAL est que les personnes déjà intégrées légalement ou vivant en respectant les lois et coutumes des pays hôtes pourront continuer à y demeurer.
Pour tous les pays les étrangers sont une richesse, des couleurs et des cultures nouvelles.
Par contre ils ne sont pas acceptés comme tels s’ils représentent des vagues de migrations inattendues, non souhaitées, incontrôlées et incontrôlables et inintégrables.
Nous le voyons tous les jours et la crainte de cette invasion malheureuse désespère.
Autant ceux qui émigrent et ne trouvent pas ce qu’ils cherchent que ceux qui ne peuvent intégrer ces nouveaux venus car les moyens pour le faire manquent et contrarient le tissu social de ces pays d’immigration.
D’où la nécessité d’un plan d’une envergure gigantesque.
Ce n’est pas sans raisons que toutes les « diasporas » du Monde aident leur pays d’origine.
C’est ainsi que nombre de pays survivent, grâce aux richesses rapatriées d’autres pays.
Les privilégiés du Monde devraient constituer la diaspora des moins privilégiés.
Alors le Riche aidera le Pauvre de se construire et de façonner un Monde plus équitable.
Les privilégiés devraient être les synapses entre les neurones que sont toutes les femmes et
tous les hommes de la Planète. Il ne devrait y avoir qu’une seule politique : celle qui répondra
aux besoins de tous et pourra les rendre heureux. Ne parlons plus de gauche ni de droite !
COMMENT MOTIVER LES PRIVILEGIES
La grande difficulté est de motiver, d’inciter les privilégiés à se montrer généreux. Pour la plupart d’entre eux ils ont peur d’être les seuls, d’être les premiers et de ne pas être suivis, d’être naïfs. Très souvent en effet la reconnaissance manque. Pour amener les gens à agir il faut leur montrer une reconnaissance visible et, encore mieux, médiatisée.
Aussi, pourrait-on imaginer un mode de récompense pour ceux qui auront contribué à l’effort.
On pourrait créer : « l’Ordre du Mérite Mondial Majeur », avec différents niveaux.
Selon le degré d’efforts consentis et entrepris par les privilégiés et les bénéficiaires.
Un genre de Légion d’Honneur. « Le Mérite Mondial Majeur de Dignité et Partage ».
Les « privilégiés payeurs » seraient publiquement « décorés ». Les « bénéficiaires »
qui auront fait l’effort de coopérer chez eux pour le bien du pays seraient aussi « décorés ».
Reconnaissance pour TOUS.
IMPOT POUR LE REEQUILIBRE DU MONDE : « IRM ».
Si la « générosité spontanée » espérée était refusée, une autre solution serait à proposer.
Il est aussi envisageable, mais plus long et difficile, de faire le même appel en demandant aux gouvernements du Monde de prendre « chacun » la décision « d’obliger » les privilégiés à payer.
Cela exigerait alors de passer par un « impôt » !
Il pourrait se nommer : « IRM » Impôt pour le Rééquilibre du Monde. Obligatoire !
Hélas ! non pas par des fondations privées spontanées.
Mais il serait indispensable que tous, sans défauts, y participent, ce qui pourrait sembler trop contraignant ou même, cette fois, « utopique » au regard de la souveraineté de chaque pays, connaissant l’égoïsme de l’Homme et des Nations. C’est un sentiment à juste titre ressenti. Même si, comme exprimé au début, modestement et exceptionnellement par les uns et par les autres, l’Homme et les Nations ont du cœur pour leur prochain.
Un « IRM » serait envisageable seulement si TOUS se rendaient compte que c’est le SEUL MOYEN de sauver le Monde d’une catastrophe probable et dramatique pour TOUS.
IL FAUT AGIR DÈS MAINTENANT.
Nous sommes tout à fait conscients que ce plan sera critiqué par un certain nombre de personnes pour des raisons qui leur appartiendront. Des économistes, des financiers, des politiques, des experts en géopolitique, des États eux-mêmes exprimeront très probablement des opinions défendant le statu quo de la situation actuelle. On parlera des effets pervers ou du cercle vertueux espéré. Les critiques positives et constructives seront cependant toujours les bienvenues. Il nous paraît évident que les prévisions dans tous les domaines sont très difficiles à faire, pour ne pas dire impossible.
Nous estimons faire une constatation et non une prévision.
Pour notre part, le sentiment que le Monde est prêt au bouleversement est issu de la constatation d’un total déséquilibre avec ce que devrait être ce même Monde si l’on tient compte des nécessités de l’Humanité tout entière.
Lorsque le temps est à l’orage on ne peut dire qu’il fait beau ! Pour protéger chacune et chacun de la foudre il faut mettre toute la population à l’abri. Notre proposition a pour but de faire passer l’orage afin que le beau temps se rétablisse.
L’idée exprimée dans cette proposition n’est pas des plus simples à réaliser, mais possible.
Elle est dérivée de l’adage qui dit : « Quand on veut, on peut ».
Souvenons-nous de la phrase de J.J.Olmedo : « Chant à Bolivar » :
« Toujours l’audace a forcé le triomphe. Vaincus sont ceux qui n’espèrent pas vaincre ».
ALORS ALLONS ! EN AVANT !
Raisons et Explications de cette proposition OR
DIGNITE et PARTAGE
Tout d’abord parce qu’il y a URGENCE en la matière. Le Monde s’enfonce jours après jours dans une injustice économique et une rupture sociale sans précédents dans l’histoire moderne. SI ceux qui en ont les moyens ( particuliers, sociétés et nations ) ne prennent pas des mesures d’envergure gigantesques de suite, alors ceux qui n’ont pas les moyens nécessaires à une vie décente se trouveront bientôt au paroxysme de la déception et se soulèveront de façon extrêmement brutale et se révolteront de telle manière que les révoltes exprimées jusqu’à
aujourd’hui seront considérées, à raison, en comparaison, comme des contes de fées.
Nous nous trouvons, de nos jours, dans une situation sociale et économique globalisée qui n’est pas sans rappeler les périodes d’esclavage des temps anciens.
LA DIGNITE EST TROP SOUVENT BAFOUEE, IGNOREE, ELIMINEE.
En effet, le marché du travail permet à beaucoup d’employeurs, si ce n’est à tous, d’exercer une pression, sans possibilités d’opposition, sur tous les employés et travailleurs du Monde.
Les salaires ne sont, en général, pas adaptés ou suffisants aux niveaux de vie nécessaires.
La globalisation a exponentiellement aggravé ce problème même si, en elle-même, celle-ci est positive à bien des égards. Travail pour les pays émergents et produits moins coûteux.
La conséquence négative est la perte d’emplois dans les pays développés. C’est pourquoi ce plan propose que les privilégiés investissent aussi bien dans les pays où des emplois sont perdus par la délocalisation que dans ceux qui sont encore sans infrastructures suffisantes de travail et d’organisation pour leur propre développement.Il est par conséquent indispensable de relever la plupart des salaires dans le Monde et de mettre en place les infrastructures sociales et industrielles dans les pays qui en manquent.
Faire tout ce qui est humainement possible pour apporter le mieux-être là où il fait défaut.
Ceux qui pensent que l’on peut continuer encore longtemps comme de nos jours nous citerons peut-être le principe de « l’efficacité de l’argent ». En anglo-saxon : « efficiency of the money ». Ce qui veut dire qu’il faut laisser l’argent aller là où il veut aller, en fonction des décisions des circuits bancaires, du choix des investisseurs, etc…car c’est comme cela que l’argent serait le mieux utilisé : le plus efficace pour les banques et les investisseurs.
POURQUOI ? : parce que l’argent va LA OU IL RAPPORTE LE PLUS !
et NON PAS LA OU IL EST LE PLUS NECESSAIRE.
C’est logique si les investisseurs recherchent le meilleur rendement. Quand ils décident.
Les banques ont un intérêt de banques lorsqu’elles font des prêts. Le plus sûr pour elles.
Ce qui, en général, est aussi l’intérêt des déposants afin de pouvoir retrouver leur argent déposé. Cependant les banques peuvent se trouver, à certains moments, dans un conflit d’intérêt : investir ( prêter ) dans ce qui rapportera le plus aux déposants ou prêter aux gros clients qui leur sont indispensables pour leur survie. De la survie des uns dépend aussi souvent la survie des autres. Opposition du gros client aux clients créateurs d’emplois.
Cependant même dans un circuit de liberté il n’est pas sûr que l’argent va là où il rapporte le plus. Le risque est toujours là et les bons choix sont difficiles à faire. Tous le savent bien ! Il faut maintenant utiliser une partie de ces liquidités (10% ou 20%) pour des projets UTILES à la SURVIE du Monde. Les utiliser pour les investir LÀ où elles sont le plus nécessaires !!!
GÉNÉROSITÉ PAR UN SACRIFICE RELATIF.
Ce que nous voulons proposer dans ce plan c’est un « sacrifice » ( qui ne sera peut-être que partiel et temporaire ) des privilégiés pour sauver le Monde et eux-mêmes
Dès maintenant, l’argent doit aller, en partie, là OÙ IL EST LE PLUS NECESSAIRE.
En toute logique il rapportera, mais plus tard ! En permettant aux privilégiés de rester propriétaires d’une (petite ! afin de ne pas dominer l’investissement partagé !) partie du capital investi ils pourraient en retirer des bénéfices futurs.
C’est ce « sacrifice » qui est demandé à tous les privilégiés.
Aussi pour leur propre bien-être !!! car avec ce partage ils se sauveront eux-mêmes !
Si ceux-ci n’y consentaient pas, alors nous ne donnons pas cher de leur peau et encore moins de leurs biens.
Au lieu de « sacrifier » maintenant 10 à 20%, la Révolution à venir leur prendra tout et se chargera, malheureusement dans le chaos, de redistribuer, tant bien que mal, ce qui aura été pris à ceux qui pouvaient donner ou investir spontanément, selon le terme que l’on voudra utiliser, mais n’ont pas voulu se montrer généreux et partager.
La globalisation existante facilitera ce processus et évitera l’inflation redoutée par certains.
L’égoïsme SAUVAGE d’un grand nombre des privilégiés du Globe doit être changé en :
GÉNÉROSITÉ CIVILISEE.
« Sauvez les AUTRES et vous vous sauverez VOUS-MÊMES »
CONTREPARTIE
À cet effort gigantesque nécessaire et devant être assumé par les privilégiés du Monde :
La contrepartie est une paix sociale devant être garantie par ceux-là mêmes qui seront les bénéficiaires de l’effort des nantis. Ils devront faire la loi dans leur camp.
La criminalité devra être éradiquée de la façon la plus ferme. De la petite à la grande.
La corruption en fait partie et devra être éliminée de la façon la plus efficace.
Aussi bien dans les pays bénéficiaires que dans les pays d’où viendront les moyens.
Les délinquants seront expulsés vers leur pays d’origine qui devra les juger. Des mesures de prison sont inefficaces pour les immigrants dans le pays hôte, coûteuses et déstabilisantes. Elle est aussi l’acceptation de tous ceux qui immigrent dans des pays à la recherche de travail ou d’asile politique, de se comporter avant tout comme on se comporte dans le pays qui vous reçoit. Cela implique : lois, éducation, traditions, coutumes, usages, religions, culture, etc. La sécurité des personnes et des biens est fondamentale pour l’ordre et la liberté.
Ce n’est pas au pays d’accueil de s’adapter mais à celui qui y vient ou chercher refuge de le faire.
C’est le RESPECT MINIMUM.
Toutes les personnes s’intégrant aux lois du pays hôte pourraient être acceptées dans le pays si
ce dernier en a la capacité.
J’appelle toutes celles et tous ceux de tous pays qui comprennent que la Survie d’un Monde
civilisé passe par cet effort, à se réunir dès maintenant et à mettre tout en œuvre pour remédier
aux actuelles injustices économiques et sociales et au nécessaire rééquilibre de notre Planète.
Les MOYENS des PRIVILEGIES
Si l’on regarde la situation mondiale il y a peu de privilégiés et beaucoup de non-privilégiés !
C’est une évidence que nous ne répétons que pour que la chose soit dite !
Ce qui est également connu par la plupart d’entre-nous est que les moyens des privilégiés sont
inversement proportionnels, exponentiellement plus importants que ceux des non-privilégiés.
Le terme « exponentiel » est à retenir, car il joue un rôle essentiel dans tous les domaines.
Cela veut dire « accélération de la vitesse de changement dans tous les domaines du Monde ».
Le danger pour les privilégiés est de se faire déborder ou même dévorer par cette accélération.
Pour cette proposition nous avons étudié des statistiques (qui peuvent toujours être critiquées,
mais qui ont l’avantage d’être crédibles, car établies par ceux-là mêmes qui sont privilégiés),
lesquelles permettent de se faire une idée des moyens qui pourraient être mis à disposition.
Elles sont vraisemblablement en dessous de la réalité, tenu compte des actifs non apparents !
Nous parlerons ici des moyens FINANCIERS qui peuvent être mobilisables de suite.
Notre source est la société : International Financial Services London : IFSL(www.ifsl.org.uk).
Le rapport est : World Wealth Report 2005. ( Rapport de 2005, chiffres 2004). Sous la rubrique dans IFSL de : International Private Wealth Management. Richesse privée mondiale.
C’est une société qui a plus de trente ans d’expérience dans le domaine. Elle tient ses sources,
ses informations, de deux sociétés : Merrill Lynch Cap Gemini Ernst&Young ( MLCG ) ainsi que du Boston Consulting Group ( BCG ). Sociétés financières des plus importantes. Les deux sociétés diffèrent quelque peu sur les chiffres, le rapport principal étant celui de MLCG.
Nous vous donnerons les chiffres qui nous paraissent utiles à cette proposition.
Vous pourrez , bien entendu, faire votre propre analyse de ces informations en les consultant.
Justification des moyens mobilisables par les privilégiés, selon nous, au vu de ces statistiques.
Nous parlerons en « trillions » de dollars.
Un trillion est égal à mille milliards de dollars et un milliard est égal à mille millions de dollars. Ceci est indiqué pour la compréhension de tous ceux non habitués à ces chiffres. Les chiffres nous indiquent les moyens financiers à disposition de deux catégories de gens :
- Si nous regardons tous ceux qui ont de l’argent à investir, quel que soit le montant, le rapport indique que la totalité investie en 2004 est de 85,3 trillions de dollars.
- Si nous regardons exclusivement ceux qui ont plus de 1 million de dollars à investir, ( c’est une partie des 85,3 trillions), le rapport indique que le montant total est de 30,8 trillions de dollars. :Cette catégorie est désignée par les lettres HNWI, ce qui signifie en anglais : High networth individuals.( Personnes avec fortune importante ).
- Les investissements sont répartis entre : cash and deposits, fixed income securities, equities, real estate et alternative investments. Liquidities = cash and deposits.
- Les expressions françaises correspondantes sont : liquide et dépôts, obligations et bons du trésor, actions, immobilier et investissements alternatifs( ex.options, dérivatifs etc).
- Par liquidités nous entendons les dépôts à terme et le liquide proprement dit.
- Afin de ne pas compliquer la vision des chiffres, ceux-ci seront arrondis afin de ne pas devoir calculer avec des fractions après une virgule. La différence est minimale.
En commençant la rédaction de cette proposition « OR » nous avons parlé de mobiliser les liquidités des privilégiés ( de 10% à 20% )( càd cash et dépôts ) afin de démontrer que les moyens nécessaires à ce « plan Marshall global » existent sans pour autant devoir bouleverser la structure actuelle des investissements et l’économie mondiale du monde des privilégiés.
Souvenons-nous aussi de l’exemple, donné plus haut, des diasporas qui ne ruinent en rien les
pays dont ils tirent les moyens pour aider celui qu’ils ont quitté et pour lequel cela = survie.
Examen détaillé des statistiques concernant les moyens des privilégiés.
Si nous regardons la catégorie A ( 85,3 Trillions $ ), liquidités et dépôts représentent 35%, càd à environ) 30 Trillions de dollars. Ainsi 10% est égal à :~ 3 Tri. et 20% à :~ 6 Trillions $.
Si nous regardons la catégorie B ( 30,8 Trillion $ ), liquidités et dépôts représentent 12%, càd ~4 Trillions dollars. Ainsi 10% est égal à 0,400 trillions ( = 400 milliards) et 20% est égal à 0,800 trillions (= 800 milliards) de dollars. Aujourd’hui ce chiffre doit avoisiner le 1 trillion.
C’est principalement à ces derniers (HNWI) que reviendrait d’accomplir le plus gros effort.
La lecture des rapports permet de comprendre que lorsque l’on parle de « gens » il ne s’agit pas forcément de personnes individuelles, d’individus, mais plutôt de « foyers ». En effet, en termes anglo-saxons on parle très fréquemment de « households », càd de familles au sens étroit, de personnes vivant sous un même toit ou dépendant d’un chef de famille ou d’un couple. On imagine aisément avoir à faire à une mère, un père et des enfants. Dans cette analyse les termes « personnes », « individus », « foyers » sont équivalents.
A titre de comparaison on peut voir d’après le rapport de MLCG (v. IFSL) que ces mêmes HNWI avaient en 2002 un total de fortunes d’environ 27 Trillions de dollars dont 25% étaient constitués de cash and deposits ( liquidités et dépôts), càd environ 7 Trillions de dollars. 10% de ce chiffre représentait alors 0,700 tri. et 20% 1,4 Trillion de dollars. La différence avec 2004 est l’utilisation des liquidités pour l’achat d’actions en bourses.
Il est à remarquer que pour le groupe A le pourcentage de cash ne change pour ainsi dire pas au cours des 10 dernières années. Ce groupe est moins actif et expérimenté que le groupe B.
En ce qui concerne le groupe B, étant plus fortuné par « foyer », il est amené à changer de politique suivant le climat boursier du moment. Il est composé de 8,3 millions de personnes.
La différence avec le groupe A , beaucoup plus nombreux , de l’ordre de dizaines de millions de personnes ( près de 100mio), est que le groupe A est composé aussi de « petites fortunes ».
A titre d’information ( v. MLCG) dans le groupe B ( HNWI ) on distingue 7,45 millions de personnes détenant des actifs compris entre 1 et 5 millions d’actifs investis ( gérés ).
À cela s’ajoutent 820.000 personnes détenant des actifs à investir de plus de 5 millions. À l’intérieur de ces derniers, il y a 77.000 personnes détenant des actifs de plus de 30 millions.
Cela démontre, d’après MLCG, que 820.000 des personnes du groupe B ( càd 10% ) détiennent la moitié des actifs gérés du montant de 30,8 Trillions de dollars du groupe B. Pour toutes ces catégories MLCG parle de fonds « gérés ». On peut dire de « partie visible » !
Pour mettre quelque peu en perspective ces montants de fortunes privées, on peut les comparer à quelques chiffres dans le domaine économique mondial.
Par exemple pour les PNB ( ou GNP en anglais ) ( ce qui signifie « Produit National Brut » ou en anglais « Growth National Product » ) les dernières statistiques, datant d’environ 2 ans, font état, pour les 7 pays industrialisés les plus importants, d’un total d’environ 28 trillions de dollars. Pour l’ensemble du Monde environ 50 trillions de dollars. Aujourd’hui certainement davantage, au vu, principalement, de la croissance des pays émergents.
Les chiffres des PNB sont évidemment relatifs, vu les incertitudes pour les pays émergents. La Chine ou l’Inde, par exemple, parmi beaucoup d’autres.
Les chiffres de ce paragraphe sont seulement illustratifs et, par la nature des choses, quelque peu approximatifs. C’est la vue d’un ensemble qui change en permanence. Notre but est de mettre les chiffres en perspective prospective.
Quelques comparaisons dans le domaine financier justifiant les moyens à disposition.
La capitalisation boursière de la Bourse de New-York ( NYSE ), comprenant 2800 entreprises et fonds d’investissement est de plus de 21 Trillions de dollars ( càd 21.000 milliards $ ). En Europe on peut prendre l’exemple de la capitalisation boursière de la première Bourse transfrontalière, née de la fusion des places de Paris, Bruxelles et Amsterdam, puis du rachat du Liffe, plate-forme londonienne d’échange de produits dérivés, et de la Bourse de Lisbonne. Ce sont 1225 sociétés, dont la capitalisation boursière est de 2.584 milliards d’euros=2,58 Tri. ( Ces informations de Bourses sont tirées de la Tribune de Genève, du 23.05.06 p.11 ). Ce dernier montant est égal à environ 3.300 milliards de dollars, càd 3,3 trillions de dollars. Au moment où nous écrivons cela le NYSE a fusionné avec ces bourses européennes pour ne devenir plus qu’un seul organisme, dont est exclu la « Börse » allemande, pour l’instant.
L’important, nous semble-t-il, est de constater que les moyens financiers sont existants pour permettre aux « privilégiés » de mettre en œuvre le plan « Marshall global »dont nous parlons. Les 10% à 20% de liquidités certainement mobilisables, pour autant que ceux qui les détiennent le veuillent bien, représentent un montant de plusieurs trillions de dollars, dans une fourchette de 1 à 6 trillions de dollars, dépendant de la volonté de le faire de ceux qui sont privilégiés. Nous répétons que les dernières statistiques datent de 2004 et sont probablement en progression depuis lors, d’autant plus si l’on tient compte des pays émergents. Ce qui démontre, s’il le fallait, que les investissements dans des pays en recherche de productivité sont productifs !
Les constatations des chiffres faites plus haut sont là pour montrer qu’avec ces liquidités il est possible d’entreprendre des investissements gigantesques dans tous les pays et pour tous ceux qui en ont l’urgent besoin. Avec la croissance, des « Trillions additionnels » seraient disponibles chaque année !!!
Ce qui permettrait de faire TOUT, car cela représentera alors des Dizaines de Trillions !
La comparaison entre les liquidités de l’an 2002 et de l’an 2004 pour les HNWI montre que si les liquidités peuvent se transformer en actions elles pourraient aussi aller dans le sens inverse si cela était indispensable au rééquilibre du Monde, sans créer de drame économique mondial pour ces personnes.Tout au plus l’argent irait-il là où il est le plus nécessaire et non là où il rapporte le plus. C’est tout le but recherché par cette proposition « OR ». ORDRE et RENAISSANCE. Un certain nombre de produits de consommation « non indispensables » seraient de ce fait en « décroissance ». Cela ne tuera personne. Mais le contraire est vrai tous les jours. Des produits « indispensables » seraient en croissance et sauverait une multitude.
LES TÂCHES DES GOUVERNEMENTS et LES TÂCHES DES PRIVILEGIES.
Les gouvernements mettent à disposition toutes les infrastructures, les moyens logistiques et administratifs dont ils disposent dans tous les pays concernés par le plan de cette proposition. Les privilégiés assumeront toutes les dépenses liées à l’utilisation de ces moyens mis à disposition par les gouvernements pour les projets déterminés d’un commun accord. Là où ceux-ci n’existeraient pas, ils seront créés et payés par les organisations des privilégiés.
L’accord des gouvernants est indispensable au vu de la souveraineté de chaque pays. Les privilégiés assumeront le financement du coût des projets entrepris. C’est fondamental. Comme il est dit au début de cette proposition, les projets seront entrepris par des fondations privées à l’initiative des privilégiés. ( Sauf si l’Impôt « IRM » devenait le seul moyen…). Les gouvernants des pays concernés mettront tout en œuvre pour faciliter leur création.
LES PARTENAIRES DE LA PROPOSITION OR
Les partenaires seront les privilégiés et les gouvernements respectifs, ceux des payeurs et ceux des bénéficiaires. Les privilégiés seront le moteur de la nouvelle justice sociale. Nous avons la conviction que ce plan est applicable par les privilégiés des pays riches. L’élection de Monsieur Nicolas SARKOZY à la Présidence de la FRANCE nous donne l’espoir que les choses vont changer et être un exemple pour tous les citoyens et tous les pays. Nous sommes convaincus qu’il apportera au peuple de France ce que celui-ci attend de lui. Il est capable de réunir le peuple de « gauche » et celui de « droite ». Tous ensemble !
Un exemple emblématique de privilégiés est celui de Bill et Melinda Gates, lesquels ont mis en place depuis de nombreuses années la « Gates Foundation » qui dispose de milliards de dollars pour divers objectifs. Ils ont été rejoints le 26 juin 2006 par Warren Buffett qui a décidé d’apporter le 85% de sa fortune ( plus de 30 milliards $ ! ) à cette fondation. Rejoints aussi par Richard Branson. Voilà des exemples d’êtres humains qui montrent, parmi les plus
riches, l’exemple à suivre.
Le plan serait aussi applicable par les privilégiés des pays émergents, lesquels voient tous les jours les manques chez eux et devraient être davantage conscients du problème. Le défi sera de convaincre, de faire prendre conscience aux privilégiés l’enjeu mondial. Déjà certains gouvernements montrent une attitude positive à cet égard et pourraient par conséquent promouvoir dans leur nation respective une proposition de type « OR ». Nous pensons aux USA sous la présidence de George W. Bush et de sa ministre des affaires étrangères Condolezza Rice ; à l’ancien Président Bill Clinton et son épouse Hillary Clinton ; à l’ancien vice-président Al Gore luttant contre le réchauffement de la planète ; à l’ancien Président russe Mikhail Gorbachev dont les efforts pour instaurer ses idées de développement durable sont connus de tous ; à l’actuel Président russe Vladimir Poutine dont le pays en serait un grand bénéficiaire grâce à ses nouveaux privilégiés ; à la Grande-Bretagne Bretagne et son premier ministre Tony Blair Blair ainsi qu’au Prince Charles, très sensible aux problèmes de l’environnement ; à l’Allemagne et à son Premier ministre Angela Merkel ; à l’Italie de Romano Prodi ; à l’Espagne et son Premier ministre M.Zapatero et au Roi Juan Carlos ; à la République Tchèque de l’ancien Président Vaclav Havel ; à la Pologne de LechWalesa ; à l’Union Européenne en général, regroupant aujourd’hui plus de 25 pays pour une construction d’avenir. Nous sommes aussi persuadés que l’ancien Secrétaire Général de l’ONU Kofi Annan, dont les efforts pour engager les principaux membres des Nations-Unies Unies à faire des efforts beaucoup plus importants sont connus, ne verrait pas d’un mauvais œil un plan de ce genre pour aider le Monde. Les personnes citées sont illustres parmi tant d’autres si valables. Un plan de ce genre encouragerait les efforts déjà entrepris par des ONG de nombreux pays ainsi que ceux de tant d’artistes du show-business qui sacrifient souvent leurs cachets pour des initiatives concernant la faim, les maladies, le climat et autres maux. Nous ne pouvons citer chacun, mais nous pensons aux engagements de tant de personnes dans le domaine des sciences, art, médecine, littérature, médias, et de tant d’autres.
Nous pensons à tous ceux dans tous les domaines qui font tant d’efforts personnels. Si nous parlons maintenant de la Suisse, la Confédération Helvétique, en dernier, c’est parce que, en tant que suisse nous-mêmes, nous espérons qu’elle saura montrer l’exemple la première. Ce pays, particulièrement préservé lors des conflits mondiaux du passé, et de nos jours avantagé dans son niveau de vie, se devrait d’être le premier, par l’intermédiaire de ses
privilégiés et aussi de ses autorités, à déclencher le processus d’une proposition comme celle du genre « OR » :
« La guerre interne de la Terre ». Pacifique et reconstructrice de l’équilibre mondial. Pour le bien-être de tous dans le Monde. Sa petite dimension et la possibilité de communiquer comme dans une grande entreprise devrait lui permettre de mettre en place une nouvelle formule de ce genre plus aisément qu’ailleurs. La Suisse devrait être la « première pierre » de ce plan.
CONCLUSIONS.
L’ETAT NE PEUT PAS TOUT FAIRE AVEC LES IMPOTS TRADITIONNELS.
Il serait injuste de demander aux personnes modestes de participer à ce plan.
Avec les TRILLIONS de dollars ou d’euros mobilisables comme expliqué plus haut, les PRIVILEGIES peuvent, dès maintenant, permettre de construire TOUTES les infrastructures nécessaires et pourvoir aux besoins les plus fondamentaux de TOUTE l’HUMANITE en souffrance et défavorisée :
maisons, eau, énergie, nourriture, éducation, transports, santé, environnement, etc.
DANS TOUS LES PAYS du MONDE OU ILS FONT DEFAUT.
Augmenter les salaires qui sont à un niveau trop bas pour assurer une existence digne.
INSTALLER dans le MONDE UNE LOGIQUE DE CROISSANCE GENEREUSE.
SAUVER la PLANETE TERRE du DESATRE QUI L’ATTEND SANS CELA.
IL Y A ENVIRON QUARANTE ANS :
A LA MÊME EPOQUE DEUX HOMMES VRAIS ONT DIT A LEUR NATION :
L’UN : « NE VOUS DEMANDEZ PAS CE QUE L’ETAT PEUT FAIRE POUR VOUS,
MAIS CE QUE VOUS POUVEZ FAIRE POUR L’ETAT ».
L’AUTRE A DIT : « J’AI UN RÊVE, I HAVE A DREAM , J’AI UN RÊVE…….. ».
ILS SE NOMMAIENT : JOHN F. KENNEDY ET MARTIN LUTHER KING.AUJOURD’HUI J’AI, MOI AUSSI, UN RÊVE : DEMANDER AUX PRIVILEGIES DE TOUTES LES NATIONS DE TOUT FAIRE POUR SAUVER L’HUMANITE, DE VENIR EN AIDE A TOUS CEUX QUI N’ONT PAS LE STATUT DE PRIVILEGIES.
J’APPELLE TOUS LES PRIVILEGIES DE TOUTES LES NATIONS À SE REUNIR
POUR SAUVER LA PLANETE TERRE.
ILS RELEVERONT LE NIVEAU DE VIE DES MOINS FAVORISES.
PAR LEUR ENGAGEMENT ILS SE SAUVERONT AUSSI EUX-MEMES.
ET ILS SAUVERONT ALORS L’HONNEUR DES PRIVILEGIES et LEUR DIGNITE.
LA DIGNITE DE TOUS SERA AINSI RESPECTEE.
LE SALUT DU MONDE EST A CE PRIX.
ENTRONS TOUS ENSEMBLE DANS L’ ERE DE DIGNITE ET PARTAGE.
Signé : Pierre HAFNER, avec le cœur et l’espoir.
Citoyen de Genève